Le deuxième jour de la 18e série de séances internationales du processus d'Astana à Nursultan, au Kazakhstan, la délégation de l'ONU a rencontré Ali Asghar Khadji, conseiller principal du ministre iranien des Affaires étrangères.
Les deux parties ont discuté lors de cette réunion à propos des derniers développements politiques en Syrie, du Comité constitutionnel et des aspects humanitaires de la crise syrienne.
Se référant aux derniers développements internationaux, le conseiller principal du ministre iranien des Affaires étrangères a appelé la communauté internationale, les Nations unies et ses agences spécialisées à accorder plus d'attention à la dimension humanitaire de la crise syrienne et à accroître l'aide au peuple syrien sans aucune conditions politiques préalables ou discrimination.
Khadji a également critiqué les États-Unis pour leur traitement discriminatoire des sanctions et a appelé à la levée immédiate de toutes les sanctions dans toute la Syrie, saluant le décret d'amnistie du président syrien comme une étape positive vers le renforcement de la confiance et reflétant l'approche positive du gouvernement syrien pour résoudre les problèmes par une méthode pacifique.
Au cours de la réunion, les deux parties ont discuté en détail de la huitième session du Comité de la constitution syrienne et se sont félicitées de la tenue prochaine de la neuvième session le 25 juillet.
La délégation de la République islamique d'Iran, dirigée par Khadji, conseiller principal du ministre des Affaires étrangères pour les affaires politiques spéciales, a également rencontré la délégation de la République de Turquie lors du 18e sommet du processus d'Astana et a passé en revue les derniers développements politiques et sur le terrain en Syrie.
Au cours de cette réunion, le conseiller principal du ministre des Affaires étrangères a souligné l'inviolabilité de l'intégrité territoriale et de la souveraineté nationale de la Syrie.
Au cours de la réunion, Khadji a condamné la présence illégale des États-Unis dans la région à l'est de l'Euphrate, le pillage des ressources naturelles de la Syrie, ainsi que le comportement discriminatoire des États-Unis dans l’imposition des sanctions contre la Syrie, et a souligné la nécessité de lever toutes les sanctions contre la Syrie sans aucune condition politique préalable.
Condamnant l'agression croissante du régime sioniste, le représentant iranien a exprimé la préoccupation de la République islamique d'Iran face à la poursuite de ces attaques en Syrie.
Au cours de la réunion, les deux parties ont souligné la nécessité de s'engager à maintenir l'intégrité territoriale et la souveraineté nationale de la Syrie.
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