L’ambassadeur d'Iran à Stockholm, Ahmad Masoumifar, a écrit lundi, sur son compte Twitter, qu'une société pharmaceutique suédoise refuse toujours de vendre des pansements pour les enfants iraniens souffrant de la maladie EB sous prétexte de sanctions américaines oppressives imposées contre le pays.
"Ces anges innocents ( les enfants patients) souffrent et meurent chaque jour sous les yeux des défenseurs des droits humains. N'est-ce pas une violation flagrante des droits de l'enfant et un crime contre l'humanité ?" a déploré le responsable iranien.
Plus tôt en mai 2022, Alena Douhan, rapporteur spéciale des Nations unies sur l'impact négatif des mesures coercitives unilatérales, s'est rendue en Iran. Lors d'une conférence de presse, elle a soulevé la question des enfants papillons en Iran, affirmant que, sur la base des informations qu'elle avait reçues, il n'y avait aucun moyen d'importer les bandages et les médicaments nécessaires pour eux, les entreprises citant la crainte de sanctions américaines.
Elle a déclaré que de tels mouvements étaient en violation des droits de l'homme.
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