Kazem Gharibabadi réagissant jeudi 12 décembre sur sa page « X » a écrit : « Le fait que le directeur général de l’Agence ait reconnu pour la première fois que le régime sioniste possède des armes nucléaires est une question significative et importante. Bien sûr, un tel aveu rend sa tâche et celle de l'Agence très lourde. Certes de simples aveux ne suffisent pas, il doit condamner la détention de telles armes prohibées par régime criminel d’Israël et exiger leur destruction ainsi que la signature par ce régime du Traité de non-prolifération d’armes nucléaires (TNP). »
Le diplomate a qualifié les allégations de Grossi sur une éventuelle prolifération d’armes nucléaire par l'Iran de « position totalement non professionnelle et politisée ».
Il a souligné que le directeur général de l'agence viennoise ne peut pas commenter les choses sur la base de possibilités, se livrer à des spéculations à l’instar des hommes politiques des pays avancent qui ont des motivations politiques.
A la fin de son message, le vice-ministre des affaires juridiques et internationales de l’appareil diplomatique a noté que l'Iran reste attaché à ses obligations de Sauvegarde et n'acceptera pas davantage de surveillance allant au-delà de ses obligations stipulées tant que les sanctions oppressives.
Si le directeur général constate une prétendue déviation à des fins militaires dans le programme nucléaire de la RII au cours du processus de vérification, il peut le signaler sur la base des documents et des preuves authentiques, plutôt que de médiatiser ses spéculations, a ponctué Kazem Gharibabadi toujours sur X.
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