Reuters, forte de son habitude de remuer l'atmosphère médiatique, citant des sources bien informées, a écrit aujourd'hui, samedi, sur la bouche d'un responsable iranien dont l'identité n'a pas été révélée que l'exigence de la Russie d'une garantie écrite que les sanctions imposées à Moscou n'affecteront pas négativement sa coopération avec Téhéran, ne sert pas les négociations entre Téhéran et les puissances mondiales visant à relancer l'accord nucléaire.
L'agence de presse britannique a également cité ce responsable iranien, qui a affirmé qu'il était «présent à Téhéran».
« Cette demande a été soulevée il y a deux jours » ; Il est à noter que Reuters n'a pas de correspondant à Téhéran.
Cependant, les résultats des discussions menées par les correspondants de l'Agence de presse de la République islamique, avec les autorités concernées par le dossier nucléaire iranien dans le pays, confirment qu'aucun responsable iranien n'a indiqué un lien avec les négociations nucléaires ou une source informée dans ce qui concerne une déclaration à Reuters ; ce qui révèle que cette agence de presse britannique a fait un tourbillon de nouveaux médias.
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