De nombreux commerçants et parents d’élèves et d’étudiants à Téhéran et dans d’autres villes, choqués et exaspérés par la violence des émeutes orchestrées par des groupes rémunérés depuis l’étranger et des jeunes instrumentalisés, espèraient un retour au calme dans le pays.
Au fond de leur cœur, les Iraniens jugeaient triste, ces actes de vandalisme et de violence dans les rues perpétrés par certains groupes et individus au nom du peuple iranien et des manifestations.
Une situation, espèce de guerre cognitive, qui tentaient en usant et abusant des revendications légitimes du peuple en difficulté à cause des problèmes liés à la crise économique (due largement aux sanctions) nuire à l’image de l’Iran de manière générale.
Pendant les émeutes et le vandalisme plusieurs commerçants et restaurateurs ont du fermer après des actes de vandalisme devant leurs façades et leur chiffre d’affaires a été impacté par les événements violents. Les émeutiers les terrorisaient et les mettaient sous pressions pour fermer au nom des grèves autoproclamées.
Sur l’autre extrémité, les parents exprimaient leurs craintes que leurs jeunes filles et fils, rejoignent les émeutiers et participent à des ravages.
Au-delà des violences aveugles et incontrôlables intervenues pendant des jours, des slogans d’apologie du terrorisme, de la haine et islamophobes ont été scandés par les soi-disant manifestants sans aucune retenue, alimentés et applaudis par l’étranger.
Les émeutiers et leurs maîtres en exerçant de vastes campagne de pression et médiatique voulaient que les spectacles et les concerts soient annulés, les cafés, les magasins et les universités soient fermés, manière de perturber la vie normale et de faire tomber les chiffres d’affaires et de provoquer encore l’ire et de semer la désespérance chez le peuple qui devaient payer ce qui s’est passé.
Ils voulaient que la façon dont la police et les forces de l’ordre et de sécurité remplissait leurs missions dans les rues et villes cibles et sensibles devienne un problème plus qu’une solution.
Pour rappel, depuis la mort en septembre de Mahsa Amini, une jeune kurde iranienne de 22 ans, à l'hôpital, trois jours après avoir fait un malaise dans un poste de police de Téhéran, ( où elle était pour être justifiée sur l'application du code vestimentaire instauré en Iran, pays musulman et conformément à la Constitution), des émeutes soutenues par l'étranger ont éclaté dans plusieurs villes iraniennes dont la capitale Téhéran. Une enquête a attribué la mort d'Amini à son état de santé, plutôt qu'aux , prétendus « coups » que lui aurait portés la police, comme l'avance la version intéressée occidentale.
Les violences engendrées par ces émeutes, dont les chambres d'opération étaient les médias persanophones basés aux Etats-Unis et en Europe, a coûté la vie à des dizaines de personnes parmi lesquelles les forces de sécurité, sans compter les attaques terroristes qui ont eu lieu dans divers coins du pays. Au cours des trois derniers mois, les terroristes ont incendié des biens publics et torturé à mort plusieurs membres de Basij (Les forces de la Mobilisation populaires) et des forces de sécurité.
Dans le cadre de leur politiques iranophobes, les États-Unis et leurs alliés européens ont fermement soutenu la poursuite des violentes émeutes en Iran et n'ont lésiné sur rien pour attiser les troubles et les désordres dans le pays.
Dans un rapport émis fin janvier, le porte-parole du commandement des forces de sécurité intérieure iraniennes, le général de brigade Mehdi Hajian, a annoncé la saisie de 9 300 armes à feu au cours des trois mois d'émeutes dans le pays.
Hajjian évoquant une guerre hybride contre l'Iran pour déstabiliser sa sécurité a déclaré : « L'envoi d'armes dans le pays indique que l'ennemi est entré sur le terrain avec toutes ses forces pour déstabiliser la sécurité et la stabilité du pays ».
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