Selon le groupe économique de l’IRNA, Ehsan Khandouzi a souligné dans cet article du Financial Times : « Le gouvernement est déterminé à maintenir l’offre et la base monétaires sous son contrôle strict. Cela nécessite des réformes importantes dans le secteur bancaire ainsi que dans des domaines extérieurs au budget de l'État (tels que les fonds de pension (ou fonds de retraite, le Fonds national de richesse, etc.)
S’attardant sur le fait que ces dernières années, les sanctions, les fluctuations monétaires et la forte inflation en Iran ont entraîné une baisse des performances économiques et une croissance négative, il a indiqué : « Divers autres chocs, tels que l'épidémie de Covid 19 et les catastrophes naturelles, ont accru les pressions financières. Ainsi, la croissance budgétaire a été plus rapide que l'inflation, et qui pour 2021 était presque trois fois plus élevée qu'en 2019. »
« Je ne sais toujours pas quel sera le résultat des pourparlers nucléaires de l'Iran avec le P4 + 1 à Vienne. Quelle que soit l'issue de ces pourparlers, nous devons être prudents quant au budget de l'année prochaine afin que la gouvernance économique du pays ne s'affaiblisse pas. »
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